Fallacieux prodiges

(Fragment du livre : « Ovni : domination oligarchique, mensonges métaphysiques, déviation spirituelle »)

Petite précision sur ce chapitre… Celui-ci n’a évidemment pas pour objectif de stigmatiser mes frères chrétiens mais, au contraire, de démontrer que quelle que soit la Foi que l’on vit cette dernière, comme tout socle évolutif, est nécessairement la cible d’adversaires d’autant plus subtils qu’ils s’efforcent de singer en étant au plus près de la Vérité. C’est donc sur eux qu’il convient de porter l’attention : non sur l’auteur qui analyse et expose leurs actions. Même si à l’évidence, et pour ce faire, il fallut démontrer que cette entreprise de dénaturation, de falsification voire d’inversion s’axe sur une certaine naïveté de la part des croyants et, surtout, sur une méconnaissance (qu’elle soit structurelle ou théologique) n’autorisant pas la distinction exacte des forces ici à l’œuvre. J’ose espérer que cet aspect des choses sera parfaitement appréhendé et que chacun se souviendra (pour ceux qui y croient) que l’antéchrist vient AVANT le Christ, et qu’il ne peut qu’être séducteur (au plus haut point) afin d’infiltrer les esprits et les dérouter.

La matière suivante aurait difficilement pu se glisser avant les autres. Non point à cause d’une quelconque complexité, mais d’une incidence dont les traits majeurs se disposèrent au fur et à mesure des multiples pages précédentes. Il n’eût pas été simple de saisir antérieurement toute la portée des faits qui seront ici exposés. Et encore moins d’en voir les conséquences possibles autant que le danger potentiel…

C’est une opération très précise qui, au sein de ces lignes, sera analysée. Elle en ébranlera et en irritera plus d’un ! C’est bien normal. Et personnellement je n’ai jamais porté mon espoir au point de contenter tout le monde. Qui le pourrait d’ailleurs ? Les gens attentifs considéreront néanmoins qu’en aucune façon je ne m’éloigne du processus élaboré dès la première page : toucher la raison. Localiser tout d’abord les facteurs, les sonder, les analyser voire les « maîtriser » ensuite.

Que ces divers éléments maintenant soient disparates, je n’y puis absolument rien. C’est la situation qui veut cela. En générant une telle quantité de paramètres et abstraction faite de la largeur en elle-même, les entités qui utilisent le phénomène ovni gagent sur le fait que la majorité de ces profils seront toujours des points de repères à l’orée d’une certaine période… Il en tombera, c’est clair, mais il en restera toujours une base compacte permettant d’exprimer et de s’appuyer sur un certain enseignement. Ce n’est même pas le fait d’une quelconque puissance surnaturelle, c’est la conséquence des libres tendances humaines, de l’ignorance générale et du manque de maturité de beaucoup ! Je me suis déjà exprimé à ce sujet.

Les lignes suivantes ne se veulent nullement exhaustives, il faudrait des volumes entiers pour sonder la somme d’événements qui se rapprochent ou sont réellement des faits « miraculeux ». L’affaire est déjà bien assez nébuleuse que pour la surcharger davantage. En outre, mon objectif est de consolider les écrits antérieurs, c’est pourquoi je m’attacherai à un type spécifique de prodige : très révélateur cependant de l’objectif que veulent atteindre les êtres qui en sont à l’origine.

Ce serait une erreur des plus grossières que d’affirmer que le phénomène ovni, par ces relents déistes, ne peut graviter qu’à proximité d’hommes parfaitement distincts, c’est-à-dire ouverts aux conceptions spirituelles ! Si le lecteur, jusqu’à présent, n’a pas soupçonné le caractère généraliste de la manifestation, je lui conseille vivement de reprendre la lecture à son point de départ…

Qu’il y ait une telle orientation ou adaptation pseudo-spirituelle signifie tout simplement que les entités ne négligent nullement la magistrale priorité : diminuer, voire éteindre une lumière qui, par tous ses rayons multiples, éclaire bien trop vivement opération, individualités, comportement et objectifs ! Les faux miracles dont nous allons disserter et noter le profond retentissement n’ont leur raison d’être que dans ce sens. Il n’y a en conséquence aucun désaccord avec l’ensemble des données reproduites jusqu’ici.

Avant d’aller plus loin il nous faut cependant essayer de définir le sens usuel du mot miracle… Cela me semble important, car sa signification exacte se dissimule à l’esprit de beaucoup.

Pour la masse, le miracle serait une sainte Action Divine qui transcende avec évidence toute Loi naturelle ![1] En réalité, et l’Initié le sait mieux que d’autres, puisque TOUT dépend de Règles spécifiques, il ne saurait y avoir transgression de quelque Norme que ce soit : c’est impossible…

S’il faut le répéter alors voici : « Ce qui est en bas est comme ce qui est En Haut… » Ce qui signifie, en d’autres termes, que les mêmes Prescriptions prédominent partout ![2] La seule chose qui varie est l’effet de ces Lois et leur perception : que l’on agisse (et ce n’est pas donné au commun) sur tel ou tel Plan de la matière…

Il y a donc quelque erreur de compréhension lorsqu’on insiste sur le fait qu’un miracle doit obligatoirement s’exclure du champ des Règles préétablies depuis toujours…

Le miracle, le véritable, n’est pas au-dessus ou au-delà de la Nature : il y puise bien au contraire, même si c’est de manière plus affirmée et mystérieuse, toute sa puissance. Ce ne sont que forces exprimées à leur absolu paroxysme, mais à l’insu de la connaissance qu’en ont les formes inférieures ![3] La Divinité ne viole pas Ses propres Lois : Elle les utilise simplement d’une façon qui échappe à notre regard, à notre raison, à notre niveau de compréhension et d’intelligibilité.

Ces phrases laissent donc sous-entendre une réalité qui n’est pas à l’avantage de l’Humanité :[4] quiconque peut manipuler certaines forces et énergies, grâce à sa nature supérieure et/ou ses connaissances, peut en conséquence faire passer pour un miracle (aux yeux des méconnaissants) tout événement qui sort de l’ordinaire…

Et la chose sera d’autant plus facile si l’homme[5] est maintenu dans une condition d’ignorance vis-à-vis de certains Postulats ou Préceptes… Ce faisant, en effet, un pouvoir majeur est octroyé à ceux qui, habiles dans leurs capacités illusionnistes, militent et agissent pour une stagnation humaine à tous niveaux.

Les termes « faux miracles » ne doivent donc pas être traités de façon ambiguë et à la légère… La qualification exacte peut aisément s’assimiler à une phrase à la mode : vrai faux miracle ! Vrai dans le sens de merveilleux, d’exceptionnel, mais faux dans l’amalgame, l’identification, les finalités…

 L’action MIMÉTIQUE à laquelle nous nous limiterons cerne un unique contexte religieux, le fait est indéniable.[6] Que ceci néanmoins ne soit pas générateur de défiance. Il est concevable que, pour raisons personnelles, certains répugnent à s’approcher d’un tel domaine, mais il serait tout autant déplacé, dangereux et manifestement utopique au niveau de la compréhension, de se préoccuper uniquement de la nature et du premier aspect de la configuration. Il faut voir bien au-delà ! Le pourquoi est toujours plus important que le comment…

Mais entrons dans le vif du sujet !

Quelle conséquence aurait sur vous la vision de l’astre du jour vous gratifiant de mouvements désordonnés, rapides, tournoyant et bondissant dans le ciel comme s’il était libre de toute entrave et totalement insoumis aux lois physiques ? Plusieurs réactions sont possibles. Vous vous pinceriez certainement pour vérifier si vous ne dormez pas. Ou vous estimerez être victime d’une hallucination ou d’un trouble quelconque. Ou bien encore, si votre caractère et votre être tout entier y tend, vous penserez et soutiendrez, le cas échéant, avoir été l’observateur d’un miracle !

Un contexte de ce type ne génère pas beaucoup plus de conclusions éminentes. Il reste néanmoins qu’à l’extrême, mais je comprends qu’il faille engranger bien d’autres éléments pour le concevoir, cette situation peut déboucher sur d’autres desseins : séditieux et non tempérés par quoi que ce soit… Je vais m’en expliquer.

Au sein de l’opération qui singe les Principes, dépersonnalise et, par prolongation, qui réadapte, on trouve un segment aussi néfaste, intelligent et conforme que les autres. À ce point qu’il donne, hélas, les résultats escomptés aux êtres qui s’en servent. Il est vrai que la manœuvre n’est absolument pas limitative. Ici non plus ils n’y vont pas « par le dos de la cuillère… »

C’est essentiellement sur une personnalité bien spécifique que s’appuie le mimétisme[7] et, comme de bien entendu, les merveilles appuyant l’opération n’ont d’autres buts que de prouver l’origine surnaturelle, d’éblouir et, ce faisant, d’accentuer l’emprise sur les consciences… Quant au personnage imité, il s’agit de la Vierge Marie !

On peut assurément faire valoir plusieurs arguments sur cette Personne : qu’elle n’existe pas, que sa légende fut embellie, que c’est un symbole, ou que sais-je encore… Peu importe ce que pense librement chacun, l’important n’est pas là : l’essentiel est surtout, et à nouveau, de remarquer à quel point l’entreprise délimite des sujets totalement philosophiques, hermétistes et religieux.

Je le répète, car il convient de le saisir parfaitement, ce genre d’attaque est très intelligent et pratiquement parfait. Comme le phénomène ovni est profondément soupçonné dans ce type d’apparitions[8] ils sont déjà légion ceux qui relient la Sainte Vierge au schéma extraterrestre… Et à partir de là tous les rapprochements sont possibles ! Si une individualité sise au sein d’une certaine croyance est assimilée à l’horizon du phénomène ovni, inutile de préciser que pour beaucoup, par un amalgame aussi triste que funeste, l’ensemble de ce qui gravite autour d’elle ne peut que confirmer des caractéristiques similaires…

Chacun est en mesure d’imaginer les multiples possibilités de propagande et de détournements potentiels découlant de cet état de fait.

Telles sont les lignes directrices de cette nuisance ! Il convient maintenant de voir ce qu’il en est des détails… Que le lecteur prenne toutefois et avant tout conscience que ce chapitre n’est vraiment pas exhaustif au niveau des événements similaires. C’est une précision qui indique, assez justement, que nous avons affaire à une configuration dense, solide et profonde. Et qui milite par conséquent aussi, à nouveau, pour l’atteinte d’un résultat des plus conséquent… Hélas.

Concernant les apparitions mariales, sur environ 300 étudiées par le Saint-Siège au cours des siècles, seules dix-sept sont approuvées… Alors que certaines sont encore à l’étude, la dernière approbation concerne une série de « visites » qui eut lieu aux XVIIe et XVIIIe siècle[9] à Benoite Rencurel, une jeune bergère extrêmement pauvre, habitant à Saint-Étienne-le-Laus, en France : il s’agit de Notre-Dame du Laus.[10]

Les justifications de l’Église pour dénier un caractère saint et divin à une apparition ne sont, en général, absolument pas communiquées… On remarquera cependant qu’une masse énorme d’événements de ce type est refusée ! Quant à celles qui sont acceptées, là encore il faut faire preuve de circonspection… D’aucuns, effectivement, allant même jusqu’à affirmer que l’Église est quelquefois « obligée » de suivre un chemin menant à la reconnaissance de tel ou tel site.[11]

Je ne pense pas me tromper en écrivant que l’époque moderne à une base historique non négligeable à propos du sujet qui nous occupe : Fatima…

En harmonie avec tout le contexte religieux, nous apercevons toutefois un ensemble d’éléments caractéristiques des ovnis : phénomènes de chaleur, boules lumineuses et lueurs aux teintes étranges. Sans oublier la fameuse « descente en feuille morte » attribuée à l’astre du jour… Mais procédons par ordre.

Tout commença[12] le 13 mai 1917, lorsqu’une « Dame » apparut à trois enfants du village…

Jusqu’au 13 octobre, il y eut au total six apparitions au cours desquelles « la Dame du Rosaire » (comme elle se surnomma) leur communiqua trois messages, ou secrets.

Le premier message est en fait une vision. Le 13 juillet l’entité montra l’enfer aux trois enfants… Je ne transcrirai pas cette vision, qu’il suffise de savoir qu’elle est pour le moins terrifiante, que la sollicitude, la pitié et l’intelligence de l’être fournissant à de jeunes esprits une configuration magistrale dans l’horreur ne sont absolument pas soupçonnées ! De fait, ce genre d’élément est aussi une CONSTANTE des fausses apparitions mariales.[13]

Le second message traitait de la première guerre mondiale commencée voilà trois ans. Le soir même une des voyantes, la jeune Lucia, l’explicita devant plusieurs témoins :

« La Vierge nous a dit que la guerre allait sur sa fin, mais si les peuples ne cessent pas d’offenser Dieu, il y aura une autre guerre plus terrible sous le règne de Pie XI. Quand vous verrez la nuit illuminée par une lumière inconnue, sachez que c’est le grand signe que Dieu vous donne, qu’il va punir le monde pour ses crimes par les moyens de la guerre, de la famine et de la persécution de l’Église. »

La seconde guerre mondiale ne débuta pas véritablement sous le règne de Pie XI, à moins de considérer que les tractations entre chancelleries européennes en fassent partie… Mais la chose est de peu d’importance. Ce qui me semble intéressant, c’est ce fameux signe annoncé par la Dame et qui a longtemps intrigué de nombreux hommes… Sera-t-on réellement surpris d’apprendre qu’il s’assimile parfaitement, si l’anecdote suivante s’y rattache avec exactitude, à certaines manifestations inhérentes à un phénomène céleste sur lequel nous nous attardâmes jusqu’ici ?

Lisons ce qu’écrivit Albert Speer dans ses Mémoires :[14]

« Réunis sur la terrasse du Berghof, nous avons contemplé vers minuit un des spectacles les plus hallucinants que la nature puisse offrir. Pendant plus d’une heure, d’intenses phénomènes de luminescence, à dominante rouge, éclairèrent par intermittence la montagne légendaire d’Untersberg. Le ciel, au-dessus, s’illuminait de toutes les couleurs du prisme.

 Une lueur sanglante, sinistre, baignait nos visages et nos mains. C’était fantastique et effrayant. S’adressant à son aide de camp, Hitler lui dit : « Voilà qui présage beaucoup de sang. Cette fois nous n’en sortirons pas sans recourir à la force… »

Quelques jours plus tard, l’Allemagne envahissait la Pologne…

Arrive enfin le troisième message de la Dame de Fatima. Il n’a jamais été divulgué au public… Il aurait dû l’être en 1960 lorsque Jean XXIII, pape de sa fonction, ouvrit l’enveloppe le contenant, mais contre toute attente il se tut. De là découlent les hypothèses et suppositions les plus folles, les plus extravagantes aussi. Ce secret fait d’ailleurs encore couler beaucoup d’encre, proférer bien des paroles et accomplir des opérations pour le moins insolites. Une autre façon de focaliser l’attention des hommes…

Au début, seuls les trois petits bergers et leur famille étaient au courant de l’apparition. Mais un tel secret, une telle grâce, doivent être partagés et communiqués…

Les nouvelles allèrent vite dans le petit village, et ne tardèrent d’ailleurs pas à s’extérioriser, au point qu’elles débordèrent même, finalement, des frontières du pays. Désormais, les pèlerinages allaient être monnaie courante.

Près de dix-huit mille personnes sont sur le lieu des apparitions le 13 août ! Les enfants, eux, sont…en prison : un notable local décidant d’en finir avec ce remue-ménage.

Ceci n’empêche cependant pas la manifestation de certains phénomènes : coup de tonnerre suivi d’un éclair brillant, nuage blanchâtre qui se forme, plane, s’élève et, enfin, se dissipe ; coloration des nuages dans le ciel qui se reflète sur la foule amassée,[15] descente de « pétales de fleurs… »

Manuel Pedro Masto déclara sous serment au cours de l’enquête canonique avoir eu la vision parfaite d’un « globe lumineux tournant sur lui-même dans les nuages… » Au cours des mois suivants, d’autres personnes auront cette vision !

Fait qui a son importance, les enfants observent toujours un refroidissement de l’air ambiant avant l’apparition de la Dame. Coïncidence certainement, c’est là une constante absolue lors des apparitions spectrales et manifestations ectoplasmiques…

Le 13 septembre, c’est en conséquence une foule de 30.000 personnes qui est rassemblée aux abords de la Cova da Iria, le lieu des apparitions, à 3 km de Fatima…[16]

La plus grande partie de la foule était installée près de l’arbre des apparitions. La panoplie de divers éléments fantastiques ne fait évidemment pas défaut, mais il convient d’ajouter que tous les assistants voient désormais un globe de lumière descendant vers la vallée… Un nuage blanc se forme aussi qui éjecte encore cette substance blanchâtre : par ailleurs absolument intéressante par ses liaisons avec les ovnis !

Laissons un témoin en fournir la description :

« Comme les assistants fixent ce spectacle étrange, ils remarquent bientôt que, contrairement aux lois de la perspective, ces pétales blancs et brillants qui tombent deviennent de plus en plus petits quand ils s’approchent d’eux. Et quand ils lèvent leurs bras et leurs chapeaux pour les saisir, ils s’aperçoivent que, d’une manière ou d’une autre, ils se sont volatilisés ! »

Ce jour-là, la Dame promet un miracle pour le 13 octobre…

Comme écrit plus haut, ces « pétales de fleurs » nous ramènent inévitablement aux ovnis ! Cette substance blanche et cotonneuse fut appelée dès Fatima, MALADROITEMENT mais logiquement, « Fils (FILL) de la Vierge… » Ou encore « cheveux d’anges ! »

Une des observations les plus connues comportant une chute de « pétales » est sans doute celle qui eut lieu à…0loron Sainte-Marie le 17 octobre 1952,[17] où de nombreux témoins assistèrent à l’évolution fantastique D’UN CIGARE DUQUEL SORTIRENT PLUSIEURS SOUCOUPES... Après quoi de tels fils cotonneux furent longuement observés, descendant lentement vers le sol.

Au cours des années ultérieures, des expériences scientifiques furent réalisées à leur sujet. On s’aperçut, entre autres choses, que lorsqu’on les enflamme ils brûlent comme de la cellophane. On a aussi remarqué qu’au contact de l’air ils se transforment EN MATIERE GÉLATINEUSE[18] et se désagrègent ensuite jusqu’à disparaître totalement.

Le 13 octobre 1917, il y eut effectivement un événement spectaculaire à Fatima : devant une foule estimée, par de nombreuses sources, à environ 70.000 personnes…

Alors que la Dame du Rosaire s’en va, la pluie qui n’avait cessé de tomber, transformant la prairie en bourbier, s’arrête soudain et les lourds nuages s’écartent… Les témoins racontent alors que le soleil commença à sursauter dans le ciel en produisant des rotations extrêmement rapides. Des gerbes d’étincelles (bleues, vertes, rouges, violettes) fusaient de l’astre tournoyant.

« Ce disque bigarré et resplendissant, dit un témoin, semblait avoir le vertige du mouvement. Il tournait sur lui-même avec une rapidité bouleversante ! Tout à coup, retenti de toute cette foule un cri d’angoisse ! Le soleil se détachait du firmament et, couleur rouge sang, se précipitait vers la terre. Ce furent des secondes d’une émotion terrifiante. Atterré, je courus me mettre au milieu des gens. Tous pleuraient, s’attendant d’un moment à l’autre à la fin du monde ! »

Les témoins, littéralement trempés avant le phénomène solaire, certifièrent être totalement secs après celui-ci ! Toutefois, est-ce bien l’astre du jour qui fit ici preuve d’un tel dynamisme circulaire ?

Il faut en effet noter que le jour du miracle aucun observatoire de notre planète n’a remarqué la moindre anomalie dans le comportement du soleil. L’astre n’a évidemment ni dansé, ni jeté des étincelles, ni non plus changé de couleur… Imaginons les conséquences au niveau stellaire et terrestre dans le cas contraire !

D’aucuns feront certes valoir qu’en cela réside justement le miracle mais, si l’on souhaite analyser complètement cet épisode, il me semble essentiel de le faire en tenant compte de tous les aspects : fussent-ils étirés dans le temps et, comme nous le verrons, s’ils serpentent au sein de domaines davantage liés au psychique qu’au spirituel…

Mais il ne faudrait pas davantage négliger les appréciations des personnes se trouvant à l’opposé : les négateurs. Pour eux, il ne fait aucun doute qu’il s’agit là d’un cas typique d’hallucinations collectives…

Malheureusement cet argument ne tient pas la route : et c’est même passer outre de tout pour raconter n’importe quoi ! Car s’il est exact que, sous l’attente d’un miracle, la foule nombreuse dégageait certainement une forte aura magnétique susceptible d’influencer le cours normal des choses, cette tension nerveuse pouvant donc déclencher des hallucinations ou divers autres phénomènes, ceux-ci devaient alors pourtant s’orienter vers un facteur (ou un personnage) attendu : en l’occurrence la Sainte Vierge, le Christ, la Sainte Famille, bref dans un cadre totalement et essentiellement religieux ! Étant donné que l’histoire ne relate pas avant cette date de phénomène similaire, personne, absolument personne ne pouvait s’attendre à ce que le « soleil » soit de la partie. Personne !

En outre, à ce sujet, d’autres circonstances interviennent : les témoignages, par exemple, de gens situés à des dizaines de kilomètres de la vallée sont pour le moins en faveur de l’absurdité d’une telle hypothèse… Eux n’auraient pu être influencés par qui ou quoi que ce soit. Ils virent pourtant le même spectacle ! Et lorsque deux foules se trouvent séparées par une distance appréciable, lorsque l’un des deux groupes n’a subi au préalable aucune préparation psychologique, dans de telles conditions, et d’un point de vue purement scientifique, l’hallucination est totalement impossible…

Détail supplémentaire qui n’est pas de moindre importance, en réalité les événements ne débutèrent pas en 1917, mais bien plus tôt… Avant la vision de la Dame, la petite Lucia eut une étrange vision de « l’ange de la paix… »[19]

Au printemps de 1916, elle était avec deux cousins. Il se mit à pleuvoir et ils s’abritèrent dans une grotte. L’averse ayant cessé, ils se mirent à jouer à l’entrée de la caverne et, soudain, un vent puissant attira leur attention et ils virent une lumière blanche planant au-dessus des nombreux arbres de la vallée…

Les trois pastoureaux, Lucia, Francisco et Jacinta, virent alors venir vers eux « un jeune garçon d’environ 14 ou 15 ans, d’une grande beauté, plus blanc que neige et que le soleil rendait transparent comme s’il était en cristal », rapporta Jacinta. Cet ange réapparaîtra trois fois avant la première apparition de la Vierge de Fatima. L’être, d’une beauté admirable, se mouvait au sein d’une vive lumière.

À sa première apparition, il leur dit : « N’ayez pas peur, je suis l’ange de la paix », à sa deuxième il précisa qu’il est l’ange gardien de leur patrie, le Portugal. Et durant la troisième rencontre l’ange, avant de les quitter définitivement, offrit aux enfants une prière d’adoration à la Très Sainte Trinité sur laquelle on ne saurait rien discerner de négatif ou malsain.[20] Par contre, et là se trouve un élément mystérieux, les enfants répétèrent MÉCANIQUEMENT cette prière jusqu’à la limite de leurs forces :  comme s’ils étaient en TRANSE

Ce fait n’a guère de sens ou de logique dans l’optique d’une apparition Divine : par contre, dans le contexte médiumnique, il prend une signification particulièrement significative…

Joseph Pelletier, auteur de l’excellent livre « The Sun Danced at Fatima », et qui étudia très profondément le cas, fit une analyse assez conséquente du pouvoir qui forçait les enfants à répéter mécaniquement les paroles de l’entité :

« Ce pouvoir est si intense qu’il les absorbe et les annihile presque complètement. Il les prive pratiquement de l’usage de leurs sens corporels… Leurs corps sont le jouet d’une force très mystérieuse, DÉPRIMANTE, qui les abat. »

Les rapports entre ces effets « pompants » et ceux ressentis, comme certains le savent, par les médiums, sont loin d’être inexistants ou anodins ! Les similitudes sont même absolues… Cet élément associé à d’autres ne peut pas laisser sans interrogations l’homme à l’esprit ouvert…

Ce dont il faut se rendre compte aussi, au-delà de toute la situation miraculeuse elle-même, c’est que certains lieux sont davantage propices à ce type d’événements…

Ainsi, sait-on qu’à huit kilomètres de Fatima se trouve un village nommé Milagres[21] et que, dans la seule circonscription de Vila Nova de Ourem, le canton dont dépend la ville de Fatima, on dénombre pas moins de huit apparitions de la Vierge ?

Il y a les Vierges de Seiça, d’Olaia, de Ricodouros, la Vierge de la Purification à Feixandas, celle du Secours à Melroeia, celle de la Miséricorde à Alqueidao de Mouta, celle du Festin à Olival, et celle des Fougères qui fit jaillir une source miraculeuse dont on vendait déjà l’eau très chère au XVIIe siècle.

En conséquence, comment ne pas souligner la « charge » qui existe en ce lieu, la Cova da Iria :[22] lequel fait référence à la demi déesse grecque Iris, messagère des dieux dont le symbole est l’arc-en-ciel ? La Cova da Iria = la cuvette d’Iris…

Est-il nécessaire d’insister sur ces lieux de cultes anciens :[23] toujours chargés et susceptibles d’être « réactivés » grâce à la présence de sensitifs ou médiums sur place ?

Notons en outre quelques éléments absolument immuables de ce type d’événement : une grotte, un arbre, le froid, souvent un cours d’eau,[24] ou une source aquatique naturelle, un léger bourdonnement durant l’apparition et, assez régulièrement, un grand bruit au départ de l’entité. Des contingences et constantes régulièrement présentes lors de ces manifestations spécifiques…

Où en arrive-t-on avec tout ceci ? À une chose assez importante, en réalité ! Car s’il est clair qu’un faux miracle eut lieu au-dessus de la Cova da Ira, le problème se pose en des termes très limpides : les tournoiements de « l’astre » sont désormais profondément indissociables de tout un contexte religieux, et plus spécifiquement marial. Ce cas, en effet, est loin d’être unique…

Mais que se passerait-il si un jour un certain message, moins évangélique, était lancé par la « dame » de Fatima ? Qui, parmi la foule venant par dizaines de milliers l’adorer chaque année, mettrait réellement sa parole en doute ? Quelle proportion de gens s’interrogerait et se méfierait ? Combien jugeraient du message pour ce qui est du fond ? Dans quelle mesure serait-il interprété en revenant aux sources de la foi : en persévérant dans une quête fraternelle et réellement humaniste ?

En étudiant effectivement les données relatives à certaines conjonctures mariales, comment ne pas grandement s’étonner à l’aune des différentes approches de l’entité : laquelle exprime des maximalismes pour le moins très étranges ! Les paroles sont tranchantes, nettes, sans nuances. La place pour le libre arbitre de l’homme a été comblée par un élément d’imposition qui, à y voir, tranche assez considérablement avec les attitudes que la Tradition, par divers aspects et personnalités, nous apprend sur Marie l’Humble, la Douce…

Au cours des dernières années, le nombre d’apparitions mariales signalées a considérablement augmenté : y compris, mais la chose est-elle étonnante, sans même que « la Vierge » fasse acte de présence visible…[25] On peut également faire mention des innombrables « statues pleureuses » émergeant en de nombreux endroits du Globe…

Sans remettre en cause la Foi de quiconque, il me semble qu’en vertu des temps eschatologiques vécus actuellement il serait sage de se questionner sur la latitude de ces manifestations à même de délivrer, à un moment précis ou adéquat, certains messages ou recommandations aux fidèles…

Car, si c’est le cas, combien sauraient les rationaliser au point qu’ils s’adaptent au message christique ? L’émotion, la sensation, le ressenti psychologique ne l’emporteront-ils pas sur toute saine considération ? Peut-on imaginer le grand nombre remettre en cause les sermons de la Dame ?

Les basiliques de Lourdes, de Guadalupe (Mexique), ainsi que d’autres sanctuaires, furent construites en réponse à la demande de Marie : et sont visitées par des millions de pèlerins chaque année… Il n’est pas difficile d’imaginer ce qui pourrait résulter si une déclaration très spécifique, débordant le cadre spirituel et s’insérant dans l’aura de notre époque,[26] y était proclamée et diffusée !

Cette potentialité semble ignorée par le grand nombre. On peut se demander pourquoi lorsqu’on note, comme vous le verrez, la teneur de nombreux propos pourtant sans équivoque !

Cette danse du soleil accompagnant un contexte marial est désormais assez usuelle, et il semble qu’une des dernières observations eut lieu lors d’un congrès marial au Nigéria, à Benin City, capitale de l’État d’Edo : le 13 octobre 2017 ![27]

Technicité actuelle oblige, plusieurs vidéos sont évidemment disponibles sur la Toile : on y voit clairement l’astre, plus large qu’à l’accoutumée, scintiller comme un véritable stroboscope et se « dédoubler » légèrement… Chacun, s’il le souhaite, peut aisément trouver ces éléments numériques sur le web.[28]

Courte digression. On peut noter que pour les hermétistes (et certaines mouvances kabbalistes aussi d’ailleurs), le nombre 13 est la signification du Serpent, du dragon, de Satan, de l’adversaire, du meurtrier et que, dans l’Écriture sainte, c’est au treizième chapitre de l’Apocalypse (celui de l’Antéchrist) qu’apparaît le Diable et la bête…. Hasard probablement… Chacun en pensera ce qu’il voudra ! En outre, on peut encore ajouter que 13 signifie en réalité 4, et que le carré est le nombre le plus absolu de la densité : relié par ailleurs à la lettre hébraïque Daleth, laquelle porte un nom sans équivoque : « porteuse de lumière »… Simples considérations supplémentaires.

On peut également citer un identique prodige « solaire » à Kibeho au Rwanda, où la Vierge est apparue à trois adolescentes de 1981 à 1985…[29]

De surcroît, il importe de signaler, allusion au massacre qui aura lieu une dizaine d’années plus tard dans le pays, que l’entité[30] prédisait sans ambages « qu’il y aurait un fleuve de sang, des gens qui s’entretueront, des cadavres abandonnés sans personne pour les enterrer » si le peuple ne se repentait pas et ne se convertissait pas… On en pensera ce que l’on veut !

L’Église catholique accepte l’idée que la Mère intervienne surnaturellement en ce Monde mais, et le nombre de modestes reconnaissances en atteste, déclame également que l’événement est très souvent le résultat « d’autre chose… » Sans spécifier clairement de quoi il s’agit.

Il faut sans hésitation se rendre dans un sanctuaire : nul doute qu’on y ressentira bien des vibrations positives, et une ferveur certaine… On y découvrira aussi, toutefois, des courants de souffrance assez appuyés car se résument là un grand nombre d’afflictions humaines qui, potentiellement, sont susceptibles d’engendrer des fourvoiements[31] d’autant plus catégoriques et simplistes qu’ils cheminent en parallèle de l’éradication espérée de multiples douleurs…

Les (faux) miracles de notre temps s’inscrivent dans un contexte temporel, planétaire et cosmique où les diverses notions de fausseté, de déviation, d’imposture voire d’inversion ne sont pas une vue de l’esprit ou le fruit du hasard, mais s’insèrent dans une véritable stratégie axée sur le long terme ! S’il est donc exact que la Mère Divine se visibilise quelquefois afin d’hâter sainement notre exacte compréhension des choses, le fait reste cependant exceptionnel et ne cadre pas véritablement avec la majestuosité des multiples situations décrites en certains lieux. Pas plus qu’il ne concorde d’ailleurs, bien qu’on puisse le comprendre, avec le cirque quelquefois déplorable que chacun peut discerner : et pas du tout avec nombre de paroles éructées par un être dont on soupçonne, bien souvent, qu’il crache sa haine envers toute doctrine favorisant une Foi véritable et sincère et/ou une Évolution spirituelle et mystique…

Ces mises en garde ayant été faites, on se réjouira néanmoins en voyant à quel point, depuis l’avènement de la chrétienté, ainsi que l’exprime le Rituel, « la Mère est toujours vénérée sous l’Aspect de la Vierge Marie… »[32] Ceci, à l’évidence, est un point extrêmement positif qui, au vu du labeur déployé par certaines puissances afin de réorienter les choses, atteste que la Reine du Ciel écrase bel et bien, et malgré tout, la tête du Dragon…

Cela étant, Fatima n’est que le point de départ d’une onde qui s’est propagée tout au long des années suivantes : et ce jusqu’à aujourd’hui. Il n’est dès lors nullement insignifiant de s’attarder sur d’autres lieux où des situations similaires, mais associées à un discours autrement plus virulent, peuvent à l’évidence nous en apprendre beaucoup.

Durant l’année 1966 et 1967, une dame « merveilleusement belle » apparut à de nombreuses reprises dans un petit village du nord de l’Italie : San Damiano.

L’enseignement dont elle gratifia l’humanité l’assimile néanmoins bien plus à une amazone qu’à une humble servante du Seigneur… Nous avons affaire à une guerrière !

Fait très significatif, à de nombreuses reprises le « soleil » renouvela le prodige de Fatima. Les témoins, de tous ordres, sont au nombre de plusieurs dizaines de milliers. Des conversions subites, des guérisons, de même que des confessions publiques, eurent lieu. C’est un effet que le phénomène accepte cependant. C’est un moindre désagrément. Tout peut être aisément rattrapé par l’orientation des messages…

Évidemment diverses manifestations, toujours similaires à celles observées au Portugal, entrent ici aussi en action : lueurs, pluie de « pétales », apparitions « d’étoiles » de nuit ou de jour, etc… Nul ne peut plus en être étonné. Quant au prodige solaire proprement dit, voici ce qu’en disait un des nombreux témoins interrogés par l’Église :

« Mira il sole, verrai cosa troverai (Fixe le soleil, tu verras ce que tu trouveras), dit la dame lumineuse à la voyante ! Cette dernière allonge alors soudain en un geste impératif le bras vers le soleil qui est en plein ciel sur ma droite, et qu’elle ne peut apercevoir d’où elle est, surtout avec ce châle noir qui lui emprisonne la tête. Les regards suivent son geste. Et je vois – nous voyons tous – le soleil commencer soudain à tourner, tourner en changeant de couleur, dans un ciel sans nuage. Par instants, il s’entoure d’un léger nuage violet, puis rougeâtre, puis bleu, et continue à tourner sur lui-même, tel un de ces soleils de premier août. Je mets la main devant mes yeux et regarde. Puis j’ai l’impression que je pourrai le fixer à l’oeil nu. C’est ce que je fais, ce que fait chacun. Et dix minutes durant – dix minutes à ma montre, je précise – je fixe sans inconvénient aucun le soleil.

Quand enfin fini cette danse, j’essaye de regarder de nouveau l’astre du jour. Inutile, je dois immédiatement baisser les yeux, et vois partout des ronds de toutes couleurs, alors qu’auparavant je n’avais éprouvé aucun trouble visuel pour avoir, dix minutes durant, fixé obstinément ce même soleil, aux mêmes heures ! Bien plus, quatre jours plus tard, le 5 septembre, j’avais rendez-vous chez un oculiste, selon entente prise quatre mois plus tôt. Je lui racontai mon « exploit ». Il me dit combien j’avais été imprudent ; après chaque éclipse, il lui arrive des gens qui, pour avoir voulu regarder sans verres fumés, ont sur la rétine des brûlures en forme de croissant, visibles plusieurs années après leur imprudence. Il m’examine : rien, absolument rien. Comprenne qui voudra ! Le fait est là. Je puis ajouter que toutes les personnes avec lesquelles je me suis entretenu ensuite : français, suisses, italiens, espagnols, canadiens, philippins même, m’ont fait de ce qui s’est passé à leurs yeux, exactement le récit que je viens de vous faire. »

Au contraire de Fatima, ici le prodige se renouvela de très nombreuses fois ! Inutile je pense d’insister plus avant sur l’état psychologique des observateurs après une telle merveille… Un prêtre dira :

« Jamais je ne pourrai oublier comment, après qu’une main invisible eut écarté les nuages, le soleil a tourné sur lui-même pendant de longues minutes, changeant de couleur, se rapprochant de la terre. Et comment la même main a ramené les nuages en quelques brèves minutes. Quelle merveille de la bonté de Marie pour nous ! »

Oui, quelle chance pour l’Humanité…

Nous n’avons tout de même pas intérêt à la contradiction :

« Le Père éternel veut faire justice. Il n’écoute plus personne ! Parce que personne n’a écouté ma parole. »  (20 janvier 67)

« Parlez, mes fils, parlez au monde. Qu’on n’attende pas que soit arrivé le terrible châtiment ! » (27 octobre 67)

« D’un moment à l’autre vous pouvez être sur le seuil de terribles tribulations ! »   (10 décembre 66)

« Je viendrai bientôt avec une grande lumière ! J’ouvrirai les yeux de tous, dans le monde entier, dans une lumière très forte… Que deviendrez-vous alors ? » (23 décembre 66)

« Le monde est en train de se perdre d’heure en heure, ils n’acceptent pas mon invitation. » (25 mai 67)

« Quand viendra ce jour où le ciel et la terre s’ouvriront, ce sera un combat terrible d’angoisse et de pleurs. Le tonnerre et les éclairs feront grand fracas… »

(ETC, ETC)

Guy Tarade, dans un de ses livres[33] écrivait quelque chose d’intéressant en ce qui concerne cette dame lumineuse. Même si je ne souscris qu’avec d’extrêmes réserves aux affirmations hardies de l’écrivain quant à différents sujets qu’il aborda, les propos qu’il tient face aux messages de l’entité singeant Marie méritent d’être cités :

« Est-ce par déformation d’esprit ou par intuition, j’ai eu pendant très longtemps la certitude que cette Dame venue d’Ailleurs avait quelque rapport avec les phénomènes insolites de l’espace, plus connus sous le nom d’ovni ! On constate, depuis une dizaine d’années surtout, une recrudescence des apparitions mariales et des interventions surnaturelles. Ces manifestations déroutantes posent un problème majeur aux spécialistes de la parapsychologie et aux fidèles de la foi du charbonnier ! Le choix des contactés paraît arbitraire, mais les lieux où se déroulent ces manifestations mériteraient une étude particulière. Nous pensons qu’il existe des sas, des portes qui donnent sur un monde invisible mais réel. De nombreux médiums affirment non pas être en liaison avec des désincarnés, mais avec des entités extra-terrestres. Dans le monde entier, ces explorateurs de l’Autre Dimension reçoivent des messages, télépathiques ou inspirés, qu’ils traduisent par l’écriture automatique. DANS TOUS LES CAS le contenu de ces messages est identique et se rapporte aux graves événements qui devraient prochainement affecter notre planète. Les cataclysmes futurs tiennent une large place dans ces avertissements venus d’Ailleurs ! » 

C’est le moins qu’on puisse dire ! Il semble même y avoir une impossibilité à trouver un simple élan de clémence… Tout est dureté, voire indifférence ! Tout est force, démagogie, orgueil et emploi de puissance…

Autre exemple : en Sicile, dans le village d’Acquaviva-Platani, au hameau de Casalicchio, une forme féminine apparut à Tina Mallia, 12 ans : et ce à cinq reprises différentes, et toujours à 2 heures de l’après-midi. Tina répandit la nouvelle rapidement et, le 15 avril 1950, une foule très importante se rassemblait sur les lieux de l’apparition. Elle était d’autant plus dense que la dame aperçue par Tina lui avait dit qu’elle ferait, ce jour-là, un prodige…

Ce fut, comme de coutume, l’identique miracle solaire qui se répéta : mais ici après l’apparition d’une « étoile » ! On ne change pas une équipe qui gagne…

Qui, parmi les gens présents, oubliera la merveille dont il fut témoin ? Un léger nuage se dissipa brusquement. Derrière, les spectateurs virent ce qu’ils prirent pour une étoile, brillante et aveuglante. Peu après, ce fut le « soleil », assez pâle, qui se mit à osciller vers la droite puis vers la gauche. Il se rapprocha en zigzag de la terre puis, après une série de bonds désordonnés, remonta vers le ciel, les témoins rapportent, unanimement, que le soleil émit des gerbes d’étincelles multicolores…

Un an avant cette série d’apparitions, à Heroldsbach,[34] une femme rayonnante de lumière était apparue à quatre enfants, leur demandant de revenir le 8 décembre pour voir le miracle que, « dans sa bonté », elle daignait leur accorder… Ce prodige fut évidemment solaire !

Vu la densité de cette opération, réellement planétaire, des personnes de plus en plus nombreuses se mirent à étudier ce genre de manifestations spectaculaires. Mais comme il convient que les entités agissantes dissimulent leurs véritables objectifs et suggestionnent pour que des amalgames navrants s’insinuent dans les consciences, les faits faussement assimilateurs se sont magistralement multipliés. Ainsi, le Vatican lui-même eut droit à l’extraordinaire prestation solaire… Entouré de quelques témoins, le pape Pie XII voit, à plusieurs reprises, l’astre du jour qui tournoie dans le ciel en projetant des étincelles de différentes couleurs ! C’est là le paroxysme de la séduction. Croyez bien qu’après cela les fidèles sont en confiance… Un événement de ce type, visionné par la tête de l’Institution, voilà qui crédibilise considérablement l’entreprise.

En plus d’autres témoins romains directs, c’est surtout grâce à l’annonce du cardinal Federico Tedeschini, légat du pape Pie XII, que le public appris la chose. Cela se passait le 13 octobre 1951, à Fatima, le jour anniversaire de la danse du soleil. Parlant devant 100.000 pèlerins, le cardinal rappela ce mémorable prodige puis annonça :

« Je puis vous dire qu’une autre personne a vu ce grand miracle ; elle l’a vu ailleurs qu’à Fatima ; elle l’a vu à Rome. Et cette personne est le pape, le souverain pontife lui-même, Pie XII. Cette grâce était-elle une récompense ? Était-ce un témoignage céleste pour authentifier la connexion des merveilles de Fatima avec le centre et le chef de la vérité du magistère catholique ? C’était tout cela à la fois.

Cela s’est passé à quatre heures du soir, les 30 et 31 octobre et le 1er novembre de l’année dernière, 1950, puis, à la même heure, l’octave du 1er novembre, c’est-à-dire le jour de la définition dogmatique de l’Assomption de Marie. Dans les jardins du Vatican, le Saint-Père leva les yeux vers le soleil et c’est alors que se renouvela à ses yeux le prodige dont fut témoin cette vallée, il y a de nombreuses années, le jour dont c’est aujourd’hui l’anniversaire.

Le disque solaire, entouré d’un halo, qui peut le regarder fixement ? Le pape le put, pendant ces quatre jours. Il put voir le soleil tourner dans la main de Marie, agité, convulsif, palpitant de vie, transmettant par un spectacle de mouvements célestes de silencieux mais éloquents messages au vicaire du Christ. N’est-ce pas le Vatican transformé en Fatima ? »

En ce qui concerne Rome, ce n’est pas tout…

Le samedi 12 avril 1980, un double miracle survint dans la capitale italienne. Sa médiatisation ne fit pas défaut et, entre autres quotidiens, « La Sicilia » le relata assez copieusement dans son édition du mardi 15 avril de la même année.

Ce samedi-là, douce coïncidence, était la journée où se concélébrait, par huit prêtres, une messe anniversaire au sanctuaire de la « Vierge des Trois Fontaines », sur la voie Laurentine à Rome ! Historiquement, c’est le 12 avril 1947 que la Vierge apparut pour la première fois. C’est un homme totalement athée, Bruno Cornacchiola, qui en eut la vision. Le sanctuaire fut érigé sur les lieux quelque temps plus tard.

Le 12 avril 1980 donc, deux mille personnes étaient présentes. Toutes remarquèrent le soleil décrire des cercles dans le ciel, changer de couleur, s’approcher et s’éloigner de la terre alors que des signes apparaissaient en son sein. Un prodige simultané se produisit également. Un enfant de 8 ans, Marco D’Alessandro, habitant Naples, grièvement brûlé aux jambes le 27 janvier 1980, assistant à l’événement céleste qui débuta à 18 heures et dura quarante minutes, se retrouva subitement guéri !

A une autre date anniversaire plus récente (le 12 avril 1986), l’identique merveille solaire eut lieu. Pratiquement à la même heure. Cette fois l’événement fut néanmoins observé par une foule estimée à 25 ou 30.000 personnes…

Bien d’autres lieux, il faut le répéter, furent ainsi privilégiés. Pour donner un ordre de grandeur, sachez qu’au cours de ces cinquante dernières années la Vierge se visibilisa rien moins que plusieurs centaines de fois ! Bien évidemment il existe de grands sites mariaux, et d’autres plus petits et dont on parle moins… Mais combien de véritables apparitions mariales dans tout cela ? En fait, excessivement peu selon les critères définis par l’Église : sur plusieurs milliers de « citations », seules 17 sont actuellement officialisées par l’Institution !

Bien que ce soit assez éloigné dans le temps, je m’en voudrais toutefois de ne pas transmettre un événement adjacent… Par l’intermédiaire d’une fort aimable personne, déjà préalablement citée, j’ai reçu des renseignements très compacts sur une série d’apparitions mariales aux antipodes, en Australie. Elles datent, pour les premières, de septembre 1989, et pour les ultimes de février 1990. L’entité se présenta sous les vocables de « Dame de la lumière » ou encore de « Reine de lumière ». Mais comme l’assimilation n’a pas tardé (Sainte Vierge Marie), très vite l’apparition se fit épauler par son fils…

Je ne transcrirai pas l’ensemble des messages, bien trop denses, mais je vais m’attacher aux points essentiels et qui ratifient considérablement toute la configuration que vous avez examinée jusqu’ici.

Les apparitions de la dame lumineuse en Australie eurent lieu à Nowra, au Sud de Sydney, sur « les Terres Saintes de Notre Dame de l’Arche », comme dit le voyant qui se fait appeler « le Petit Caillou ».[35]

Les messages ont une portée conséquente dans les pays de langue française grâce aux liaisons entretenues par le voyant avec une association en France :[36] il est vrai que celle-ci est reliée à une voyante nommée « Petite Colombe » qui reçoit d’identiques messages…

Bien évidemment, l’ensemble des propos sont guerriers, malsains, et aux antipodes des écrits évangéliques… Mais faut-il encore réellement s’en étonner ?

Deux courts extraits. D’abord le « fils » :

« Repentez-vous ! Car je viendrai bientôt et frapperai le monde, et le réduirai en cendres et en poussière, tel qu’il était ! Le temps est court, l’heure des tribulations est maintenant ici !

Les sept ans de tribulations dont il est parlé dans le livre de Daniel sont maintenant sur vos têtes, Mes enfants chéris.

Réfléchissez bien à ce que ma mère vous a dit dans le passé… Ces années : 1990, 1991, 1992 sont des années spéciales de Miséricorde. C’est au cours de ces années, mes enfants chéris, que les principaux Châtiments tomberont sur les Nations et les deux tiers de la population du monde seront supprimés ! C’est pendant cette période, et un peu après, que l’Antéchrist viendra, dans toute sa puissance pour dominer la Sainte Mère l’glise et le monde !

Rappelez-vous la période qui a commencé en 1988, et comptez depuis lors, mes enfants chéris (les Sept Ans de Tribulations) vous comprendrez alors un grand Mystère, car, à partir de l’année 1992, je reviendrai dans le monde, en Mon Glorieux Second Avènement, pour juger tous les Vivants et les Morts ! »

Nul n’a évidemment vu la chose se produire ! Peut-être avons-nous échappé à la punition parce que le coeur des hommes a changé, qui sait… Mais peut-on réellement le penser ?

La « mère » est du même acabit :

« 0 génération Vicieuse, qu’es-tu devenue ? Mon Divin Fils est-Il mort sur la Croix…en vain ? Inclinez-vous devant le « Roi des rois » !

Mon Divin Fils viendra bientôt sur la terre et régnera dans les coeurs de tous mes enfants. Le monde doit se tourner vers la prière, parce que la guerre va frapper chaque nation, et toutes les plaies qui ont, une fois, frappé l’Égypte pendant le grand châtiment de cette nation, frapperont le monde… »

Clair… Et même limpide en vertu de tout ce qui fut écrit !

L’ensemble du message et de la vision reçut par le médium à la date du 13 septembre explique densément et montre en détail les événements qui devaient frapper le globe. Événements qui ne se sont bien sûr pas produits…

En bien d’autres lieux d’apparitions ce genre d’attitude à cours. Ainsi à Bohan (voir plus loin) ! Mais un point auquel nous devons apporter quelque importance, c’est ce dessin tracé dans le ciel : vu par des centaines de personnes et représentant la lettre M… Est-ce uniquement la représentation de Marie ? C’est ce qu’il semble logique de penser à priori, mais dans le contexte de cet ouvrage, on peut résolument s’éloigner de ce premier degré…

Le M peut également être la résultante de trois autres lettres : si on suit les lignes depuis la base inférieure gauche du M. Le A, le U, et finalement le M (à la fin).

Nous n’aurions plus alors un M mais un AUM, et cela nous ferait (pour le moins) quitter le giron occidental et chrétien, et nous ramènerait vers une source orientale, philosophique et surtout centrée…au Tibet. Région dont il fut écrit en d’autres livres qu’elle recelait (pour certaines raisons) le centre méphitique de notre planète ! Je demande toutefois au lecteur un peu de patience : ceci sera totalement confirmé plus loin dans le livre !

Mais pour terminer sur l’apparition australienne, je m’en voudrais d’oublier LE « détail » par excellence…

Dans une de ces dernières visions, le voyant s’exclamait :[37]

« Joseph maintenant s’incline et s’en retourne, il glisse tout seulement… C’est vraiment merveilleux. Si seulement vous pouviez voir cela. C’est comme un petit nuage ; il se tient debout dessus ET LE NUAGE DOIT ETRE COMME UN VEHICULE CAR IL SEMBLE VOLER… »

Difficile d’adhérer à la coïncidence ou au fait fortuit… Dans l’optique élaborée à travers cet ouvrage on aura quelque mal à y croire ! Ce dernier élément associé à la teneur virulente des messages où, bien à l’inverse de l’amour pour l’homme, on y décèle une haine profonde pour l’Humanité, incite évidemment à penser qu’à nouveau la gravitation s’effectua autour de certaines entités et de leurs projets spécifiques.

Faisons maintenenat un petit détour par les Pays-Bas, histoire d’explorer rapidement un cas assez célèbre mais aussi des plus limpides…

Les faits remontent à 1945. Cette année-là une jeune hollandaise eut la vision troublante d’une entité se surnommant la Dame de tous les Peuples ! Les apparitions se succéderont ensuite, très irrégulièrement, sur une période de quinze ans… Au grand désespoir de la voyante ! C’est dire… Mais il est vrai que le climat insolite et malsain dans lequel baignent les apparitions ne l’est peut-être plus pour vous.

A chaque prestation de la personnalité non-humaine, la jeune hollandaise ressentit, et parfois de façon extrême, un sentiment de malaise, d’angoisse et de profonde fatigue. Mais plus symptomatique encore est le fait suivant : à tel moment l’entité qui se présente masque une croix, mais à chaque fois qu’elle s’en écarte LA VOYANTE SE TORD DE DOULEURS !

On fera certes valoir que la croix n’est pas simplement le symbole et le signe le plus concret de l’amour, mais aussi un élément de souffrance. Cependant, au-delà de cette vérité, on peut aussi, et sans trop d’efforts, soupçonner d’autres facteurs…

Ainsi la totale imprécision, à tous les niveaux, de l’apparition… Pour prendre un exemple clair et précis, on pourrait dire que cela s’apparente à la difficile recherche d’une station radiophonique : il en résulte une cacophonie, une distorsion ! Il serait simple d’opérer la liaison avec certaines situations médiumniques…

Étrange image où la masse est symbolisée par des moutons…

Surprenant aussi, pour en revenir aux sentiments charitables et compassionnels, que la dame se présentant comme la réelle protectrice des nations soit à ce point éloignée de toute fibre amoureuse…

« Et je voudrais, moi (dit la voyante), que la Dame me lâchât la main ! Elle me tient si durement !! »

A de nombreuses reprises l’apparition insiste sur certains points essentiels : à ces instants la jeune fille semble douter.

« Bon ! Garde tout cela dans ta mémoire. Vois, je suis debout sur le globe. Mes deux pieds y sont solidement posés. Tu distingues nettement mes mains, mon visage, mes cheveux et mon voile, mais tout le reste est flou (…). Tu as donc bien vu. Je t’ai montré que ma tête, mes mains et mes pieds SONT SEMBLABLES A CEUX D’UN ETRE HUMAIN… Retiens cela : semblables à ceux de l’homme. Le reste c’est l’esprit. Tu feras faire cette image… »

Pourquoi une telle insistance ? N’est-il pas normal que celle qui se présentera comme Marie ait des membres humains ?

Il est vrai que la voyante se questionne de plus en plus…

 « Mais êtes-vous bien la Dame ? »

« Que ton conseiller te croie ! Il a suffisamment de preuves… »

Ajoutons également à ceci la vision… d’objets volants…

« C’est une sorte de cigare qui serait comme en aluminium… »

Se présentent également des visages, de larges et horribles visages, couverts d’ulcères…

La Dame dit : « c’est infernal… »

Bref, très poétique comme apparition…

Et il ne faudrait évidemment pas oublier non plus l’observation de svastikas,[38] ce qui nous ramène une fois encore à l’Orient …

Quant à la pitié de la dame :

« Des gens ordinaires. Les moindres des miens. Il n’y a plus de place pour eux. »

Nous rejoignons ici, très précisément la rhétorique de certains lieux où l’intransigeance et la haine de l’entité sont manifestes ! Avant de le noter plus exactement, précisons qu’il existe encore néanmoins d’autres faits à saisir… Ainsi, plusieurs fois la dame interrompt la prière de la jeune voyante et l’oblige[39] à réciter une prière qu’elle lui a apprise. La situation se répéta même, un autre jour, alors que la Hollandaise déclamait le rosaire : prière pourtant toute orientée vers la Vierge !

« Récite ma prière », dit la dame. Mutisme de la voyante, profondément troublée… « Récite ma prière », reprend l’entité !  Celle-ci n’arrivant toujours pas, c’est la dame elle-même qui la commence…

Notons enfin, et nous en resterons là avec ce cas, que la jeune fille se rétracta ensuite de façon totale : jamais elle ne nia ses visions, toutefois elle insista, et on la comprend, sur son caractère malsain…

Quant à l’Église, elle ne reconnut évidemment pas ces apparitions,[40] cependant elles furent officiellement reconnues par l’évêque du lieu en 2002… Mais fin 2020, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi casse la décision de l’évêque et le pousse à annuler la reconnaissance officielle des apparitions !

Je pense que c’est une des seules fois où un jugement sur un caractère absolument nocif est prononcé à l’encontre de ce type d’événement…

Thot Théurge. (Extrait du livre : « Ovni : domination oligarchique, mensonges métaphysiques, déviation spirituelle »)

[1] Pourtant tout aussi Divine…

[2] À l’échelon du Macrocosme comme à celui du microcosme.

[3] Comme les hommes.

[4] Celle-ci étant dans sa généralité bien trop ignorante…

[5] Puisque c’est lui la cible !

[6] Encore que les ramifications se trouvent également dans la sphère hermétiste.

[7] Même s’il est quelquefois grossier.

[8] De multiples signes en attestent : pour peu qu’on se donne la peine de chercher…

[9] Entre 1664 et 1718, soit 54 ans d’apparitions : un record !

[10] Aussi nommée « Refuge des pécheurs »

[11] La ferveur et l’affluence exponentielle des fidèles étant en cause.

[12] Du moins le croit-on généralement…

[13] Ou autres !

[14] « Au cœur du IIIe Reich »

[15] Comme au Berghof avec Hitler.

[16] Un lieu de culte antique d’ailleurs : nous allons y revenir plus loin car ce n’est évidemment pas sans importance…

[17] Admirons l’astuce au niveau du nom…

[18] Encore une caractéristique propre aux ectoplasmes…

[19] En avril 1916.

[20] Soeur Lucia raconte : « On s’est levés pour voir ce qui se passait, et avons revu l’ange qui tenait un calice dans sa main gauche. En suspension au-dessus du calice, il y avait une hostie de laquelle tombaient quelques gouttes de sang. L’Ange quitta le calice et l’hostie pour venir s’agenouiller à côté de nous et nous demander de répéter trois fois : « Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint Esprit, je vous adore profondément et je vous offre le très précieux Corps, Sang, Âme et Divinité de Jésus Christ, présent dans tous les tabernacles du monde, en réparation des outrages, sacrilèges et indifférence par lesquels Il est le plus offensé et par les mérites infinis de son Sacré Cœur et du Cœur Immaculé de Marie, je vous supplie de convertir les pécheurs ». Puis, l’ange se leva, prit le calice et l’hostie. Il me donna l’hostie et fit boire Jacinta et Francisco au calice en disant : « Mangez et buvez le Corps et le Sang de Jésus Christ terriblement outragé par l’ingratitude des hommes. Offrez réparation pour consoler Dieu ». L’Ange s’agenouilla à nouveau, mit le front à terre et répéta avec les enfants : « Oh, Sainte Trinité… », puis il disparut. » (Extrait du livre de Don Marcello Stanzione, spécialiste de la question des anges : « Les anges gardiens des nations. Il y a cent ans l’ange du Portugal parlait aux trois pastoureaux »

[21] « Miracles… »

[22]  Là où se produisit le « miracle » de Fatima… Réputée « magique » dès le XIVe siècle…

[23] Ou d’autres, plus récents.

[24] Souterrain ou non.

[25] On parle alors de locution intérieure…

[26] Où le Grand Choix est désormais prépondérant.

[27] A l’occasion, cela va de soi, de l’anniversaire du phénomène similaire de Fatima…

[28] Quelques liens (parmi d’autres) pour faciliter la recherche (différents lieux, en commençant par Benin City) :

– https://www.youtube.com/watch?v=WNLTxUpQabM

– https://www.youtube.com/watch?v=5no2ivuzJ_U

– https://www.youtube.com/watch?v=soFhN2Lz2xg

– https://www.youtube.com/watch?v=yeCBAY8MN5Y

[29] Apparitions reconnues officiellement par l’Église.

[30] Qui se présenta comme Notre-Dame des Sept Douleurs.

[31] Intellectuels et moraux.

[32] Rituel (théurgique) d’Aset. Plus d’infos disponibles dans mon livre : « La Mère Cosmique et l’Évolution humaine : les Processus de l’Intelligence Divine à travers l’interaction universelle des Consciences »

[33] « Soucoupes volantes et civilisations d’outre-espace »

[34] Allemagne, diocèse de Bamberg.

[35] Allusion à l’apôtre Pierre ?

[36] Travailleurs de Marie de France. 86800 Sèvres-Anxaumont.

[37] Au départ de Saint Joseph… Oui, toute la famille était réunie.

[38] Sinistrogyre (sauvastika) : c’est-à-dire pointant vers la gauche.

[39] Le verbe n’est pas exagéré !

[40] Elle les condamna même (chose extrêmement rare) en 1956…

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14 réponses à Fallacieux prodiges

  1. Laurent dit :

    Ah oui, voilà qui en surprendra plus d’un ! Merci pour ces informations qui cadrent bien avec votre travail global.

  2. Lumière dit :

    Suivant un lien sur Facebook, je suis arrivé sur votre blog. Je ne le connaissais pas, mais suis très intéressé par ce que je lis. C’est assez énorme et je m’efforcerai de vous suivre tout en partageant ce qui me semble pertinent. Merci pour ce travail d’envergure.

  3. Gabriel dit :

    Encore un article troublant. Et qui interroge notre faculté à suivre, au-delà du bon sens, toute lueur pour peu qu’elle soit assez compacte. Rétablir quelques vérités n’est donc pas malvenu. Gratitude.

  4. Mia dit :

    En vous lisant, je me suis dis que nous sommes vraiment à la fin de quelque chose : le mensonge a une telle force, hélas. Vos livres et écrits font du bien dans la tourmente (intellectuelle, sociale et morale) que nous vivons actuellement.

  5. Rose dit :

    Merci pour ces précisions très claires et qui sortent de l’ordinaire 🙂

  6. Mick dit :

    Vous mettez le doigt sur des configurations obscures et les éclairez pour nous. Un immense remerciement pour cela. Mais je crains que beaucoup sont encore endormis.

  7. François dit :

    Bonjour,

    N’est-ce pas là la Providence qui nous teste et nous juge en autorisant à ce mal abject que sont ces entités et leur oeuvre d’opérer, notant la réponse que chacun en fera et pratiquant une sorte de jugement permettant de séparer ceux qui préfèrent le pouvoir sur autrui, la matière, de ceux qui sont plus apte à écouter la voix de la raison ?
    Les évenements resteraient donc divinement encadré au final je présume.

    Nous sommes à la mi année 2023, hors cela fait longtemps, vous parliez de 2001 et du 11 Septembre et du nombre 11 et comme quoi (je ne voudrai pas déformer vos propos que je ne me souvient plus très bien !) selon une intervalle de 11 ans il pourrait se produire des choses sidérantes captant l’attention de l’humanité. Cela fait maintenant 2*11 ans depuis 2001.
    Le covid est derrière nous. Le narratif sur la guerre en Ukraine semble s’éterniser et ne plus capter l’attention. Quoi de mieux que de faire intervenir des faux miracles, ovni et apparitions pour embrigader encore plus les gens ?

    Bien à vous.

    • Thot Théurge dit :

      Tout est toujours divinement encadré 😉
      Pour le reste, à propos de ce qui « étonnera » l’Humanité, il est exact que cette année verra (comme les autres que vous avez citées) un cycle solaire majeur, toutefois ce n’est pas pour cela que certaines choses se visibiliseront totalement (personne, par exemple, n’a rien vu non plus le 21/12/2012) : en outre, en ce qui concerne le sujet spécifique auquel vous faites allusion, c’est APRES les (premiers) événements d’ampleur planétaire qu’émergeront les « sauveurs« … Pour concrétiser un état de pacificateur, rien de tel en effet que d’apparaître postérieurement à des situations globales très dramatiques. Nous n’y sommes pas encore, mais il est vrai que l’Egrégore malsain se condense toutefois progressivement.. Et, comme vous l’avez compris, cette question s’intègre également et pleinement dans le Temps du Choix personnel et général.

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