Si l’on définit la modernité par le chaos actuel qui engendre des guerres de religions, des crimes, un asservissement et une cruauté envers les femmes dans certaines régions et même en Occident, si on la définit par l’ignorance inoculée à la jeunesse par des programmes scolaires affligeants, par une technologie destructrice du cerveau (la fascination envers les écrans, excepté pour le travail en informatique), par la destruction de la notion de famille, par l’insémination sournoise de valeurs néfastes au sein de la société, occidentale surtout (égoïsme, le chacun pour soi, la compétition destructrice des rapports humains), par le délaissement de nos anciens, par le laminage perpétré par la nécessité de travailler pour un gain de moins en moins suffisant, alors, oui, la Tradition Primordiale se heurte à ce type de modernité.

Mais si la modernité se définit par tout progrès qui allège la pénibilité de la vie humaine (progrès en médecine, en transports, en communication), la Tradition ne peut que s’allier à elle et compléter celle-ci par l’enseignement de ses valeurs.

On entend par Doctrine Ésotérique la connaissance de l’Univers et de ses Lois, c’est-à-dire aussi et surtout de la Divinité. Partant de cette définition qui montre les assises de cette Connaissance (le Bien, la Compassion, etc.), on peut dire que les cultes, dits « païens » par la caste sacerdotale du Christianisme, relèvent de la Doctrine Esotérique s’ils tendent au Bien.

Dans le cas contraire, même si leurs connaissances relèvent de certaines pratiques occultes, déviées de leurs Principes réels (les Principes Divins=seule Réalité), alors non, ils ne peuvent être assimilés à ce que divulgue la Doctrine Esotérique.

• L’enseignement des Sons Universels Créateurs relève d’une branche de la Kabbale (F. Bardon) connue de l’Atlantide lumineuse.

• L’enseignement de la Kabbale dite « hébraïque » relève d’une autre branche, celle qui présente l’organisation des Forces Universelles. Elle n’est pas, originellement, l’apanage d’un peuple (Israélite) mais l’enseignement atlante, migré jusqu’en Asie centrale (Mésopotamie) où les Chaldéens (les véritables Hébreux), le divulguèrent. Les Israelites, en esclavage à Babylone, eurent connaissance de cet Enseignement et l’adoptèrent, puis le dévoilèrent.

Se reporter aux âges de LSR précisant tout cela.

En en parlant autour de soi.

De toute façon, les temps heureux qui viennent permettront la divulgation de ces Lois à tous.

Les groupes ésotériques sont composés d’humains. De ce fait même, l’égo ne peut être que prévalent et il en résulte des rivalités, tout comme il en est dans les religions.

Quand le sens de l’égo sera dépassé, grâce à un enseignement de ce qu’il est et aux pratiques permettant sa dissolution, alors les rivalités cesseront.

Cela dépend de la nature de la personne. Chacun doit trouver ce qui, dans sa structure actuelle, dans cette vie, peut le galvaniser. Milarepa le Grand Boddhisattva au Tibet, au XI° siècle, avait si peur des Enfers que celle-ci fut le tremplin, ce qui le galvanisait, quand le découragement survenait lors de ses dures épreuves.

Le meilleur peut en être attendu. Pas de mélange karmique en raison de la formation de groupe, pas de tentation de rivalité, éviter que l’un veuille, sans le vouloir consciemment, prendre le dessus et s’ériger en Guru, etc.

Le travail solitaire avec l’aide certaine de la Fraternité de Lumière est la meilleure manière qui soit.

Oui, il s’oppose totalement car la plupart des captations sont erronées, soufflées par les forces de l’Ombre. Le véritable New Âge, qui exigeait à la base, une formation/purification permettant de bien capter, telle que celle qu’avaient suivie H.P.B., David Anrias, etc. semble plus que difficile à trouver.